Centre de presse de l’OCE

Le Secrétaire-général de l’OCE rencontre des leaders étudiants nicaraguayens

De la diversité, de l’engagement et de la richesse des idées des jeunes, l’historique Université nationale autonome du Nicaragua, Managua, (UNAN-Managua) a été le cadre d’un dialogue honnête et informel entre le Secrétaire-général de l’Organisation de coopération éducative (OCE), S.E. M. Manssour Bin Mussallam et le Président de l’Union nationale des étudiants du Nicaragua (UNEN), Carlos Eduardo Diaz, ainsi que les membres de son Conseil.
 
“Il était très important pour moi d’avoir cette réunion en sachant parfaitement que vous êtes la pierre angulaire, les protagonistes de l’avenir. L’OCE vous reconnaît comme acteurs du développement et de l’avenir, agissons au présent pour forger l’avenir que nous voulons. Je suis ici pour vous écouter”, a déclaré Bin Mussallam en s’adressant aux leaders étudiants.

En accueillant la délégation en visite, Carlos Eduardo Díaz a fait référence à confiance que les étudiants universitaires placent dans l’OCE en tant que plateforme d’échange de connaissances, car il considère que les jeunes Nicaraguayens ont beaucoup à apprendre et à apporter aux pays du Sud, et au monde en général.

Le chef de l’OCE a quant à lui exprimé le souhait que la Déclaration universelle sur l’éducation équilibrée et inclusive (DUEEI) élabore collectivement une feuille de route pour faciliter la coordination de l’action évoquée par le président de l’UNEN.

Copyright: Unión Nacional de Estudiantes de Nicaragua (UNEN)
Il a également rappelé que le Nicaragua est un État membre fondateur de l’Organisation et qu’il a été le premier de ses 27 pays membres à ratifier sa charte constitutive, instrument d’une transformation sociale équitable, juste et prospère par l’éducation.

“Lorsque nous parlons du pouvoir émancipateur de l’éducation, nous pensons que c’est la raison pour laquelle les États ont signé la Déclaration Universelle sur l’Éducation Équilibrée et Inclusive (DUEEI), ils l’ont signée dans cette reconnaissance que (…)dans l’absolu, l’éducation peut être un instrument d’émancipation, et un instrument de construction collective”, , a conclu Bin Mussallam.